lundi 29 septembre 2014

Robespierre en travaux - 30 septembre

Salut citoyens!

Encore une fois, depuis que j'actualise le blog toutes les deux semaines seulement, ce sont les paires de semaines qui passent le plus vite de ma vie!

A chaque fois j'essaierai de vous proposer un peu de crayonnés, et un peu de couleurs.

Sans faire de mauvais jeu de mot, voici la fournée de ce lundi!

Côté crayonnés, voici ceux de dessins qui illustreront le fameux (pour ceux qui connaissent bien-sûr) discours du 17 Pluviôse dans lequel Robespierre expose son arrière pensée politique profonde, ce qu'il veut pour la France. C'était un discours qui avait de la gueule (ou qui était fanatique pour les anti) car il allait au-delà de la politique et parlait tout simplement du bonheur, de l'idéal de la cité... Bon, je m'arrête là! Dans ces dessins vous devez reconnaitre deux visages un peu connus, surtout un!





Le voici dans un dessin plus grand...




Et un crayonné de celle que je n'ai pas encore représenté ici. Inutile de faire les présentations je pense!...




La couleur! Deux dessins que je vous ai déjà montrés en crayonné il y a longtemps, puis encrés il me semble, éh! bien maintenant les versions prête à monter! Robespierre pendant le printemps 1794, sur les bords de Seine avec son chien.





La fête de l'Être Suprême en juin 94, sur le Champs de Mars.




Et certains conventionnels raillant Robespierre et ses croyances jugées stupides, ou l'insultant carrément.




Passez une bonne semaine, et à bientôt!


lundi 15 septembre 2014

Robespierre, couleurs et crayonnés

Salut tout le monde!

Ça passe vite deux semaines, mine de rien! En parlant de mine, j'ai pas chômé! Vocalement non plus d'ailleurs: ce week end a vu le début de l'enregistrement de la voix off. Et pour l'entendre, il vous faudra attendre que le film soit fini! Dans tous les cas, je suis assez content du résultat jusqu'ici.

Alors cette semaine, on a quoi?

D'abord de la couleur. Nous avons Barère du comité de salut public (fait d'après documentation), l'auteur des premières lois sur les suspects en septembre 1793. Il a fallut sortir ces lois assez terribles après une nouvelle invasion de la Convention par des sections de Sans-Culotte exigeant toute une série de mesures, dont la recherche et la punition de tout ce qu'il pouvait y avoir d'anti-révolutionnaires. Il faut dire qu'après la trahison de Dumouriez et Toulon que des royalistes ont livré à l'ennemi, on avait tendance à être un peu nerveux, à Paris!...




Des statues de saints brisées dans une église. Contrairement à ce qu'on croit, ces mouvements anti-religieux étaient assez marginaux, et Robespierre ne les a jamais cautionnés.



Le terrible Carrier, au premier plan, à Nantes, au moment des tristement célèbres mariages républicains, dont j'ai déjà parlé dans ces pages. C'était en novembre 1793.



Et une vue de la chambre de Robespierre. Je ne peux pas vous assurer si les murs étaient nus comme ça, mais en tout cas ils étaient à cette place, il y avait ce nombre de poutres, et sur la gauche c'était le lit, et tout ça par contre, j'en suis sûr! Vous pouvez voir ou revoir dans ce blog à la date du 21 avril de cette année le petit reportage que j'ai fait de ce qui a été la chambre de Robespierre dans la maison Duplay.



Et le petit avant/après réglementaire!



Deux crayonnés maintenant: la salle du Manège dont j'ai parlé ici il y a longtemps, mais que j'ai pris la décision de refaire. Ne me demandez pas pourquoi, c'est comme ça! Je vous rappelle que cette salle a disparue, et qu'aujourd'hui il y a la rue de Rivoli qui passe pile au milieu.



Et enfin, la grande salle des Machines du palais des Tuileries où siégeait la Convention. Cette salle  aussi a disparue, et si vous voulez en savoir un petit peu plus sur elle, allez donc à l'article du 28 juillet.



Je vous souhaite une bonne semaine, et rendez-vous dans quinze jour!

lundi 1 septembre 2014

C'est la rentrée!

Bonjour à tout le monde!

Voilà, c'est la rentrée y compris pour le blog et pour le projet "Robespierre". J'ai toujours en tête de tout finir pour Noël, il est parfaitement possible que j'y arrive, mais il me faudra être le nez dans le guidon pendant quatre mois! Il va même falloir que renonce à sortir vadrouiller le samedi après-midi, vous vous rendez compte?

Non, et puis surtout, il va falloir que je publie un nouvel article ici non plus chaque semaine, mais un lundi sur deux uniquement... C'est comme ça!

Alors cette semaine on a quoi? On a des crayonnés et de la couleur!

Les crayonnés d'abord.

Voici des membres du comité de sûreté générale qui s'occupait des affaire de police et qui donc s'occupait de faire marcher la guillotine, parfois au-delà que ce que voulait l'autre comité...



Deux figures du comité de salut public: Billaud-Varenne (qui gueule, vers la fin sa gueulait tellement au comité qu'on leur avait demandé de déménager un étage plus haut!), et Couthon.




Une certaine Catherine Théot (décédée il y a 220 ans aujourd'hui), une illuminée qui prenait Robespierre pour le messie. Cette histoire avait été montée en épingle par le comité de sûreté générale pour ridiculiser Robespierre et son concept de l'Être Suprême.



La colère dans la rue, et la colère au comité de salut public où ça tape sur la table!





La couleur: un député girondin qui lance un appel à la révolte dans son département après s'être fait virer de la Convention en juin 1793.



Le peuple dans la rue avec l'ancien Châtelet en arrière plan.



Le père de Robespierre, inconsolable depuis la mort de sa femme. J'avais déjà mis en ligne la version crayonné puis la version encrée de ce dessin, donc maintenant la couleur!



Et enfin le jeune Robespierre à l'écart des autres au collège Louis-le-Grand à Paris. Je ne me rappelle plus si je vous avait déjà proposé ce dessin...



Voilà, je vous souhaite une bonne journée!


Salut et fraternité!