lundi 24 octobre 2016

De Pire en Pire - pages 17 et 18

Salut tout le monde,

merci de toujours suivre l'histoire en cours, mon but est de faire de vous des drogués des Dentus et j'espère bien y arriver!

Il y a deux semaines, les Dentus ont mené aux urgences de l'hosto Larry-Boisière monsieur Portal victime d'un malaise. Et les voilà attendant pendant des heures que vienne leur tour, ou plutôt celui du malheureux monsieur Portal...



A la semaine prochaine, et là c'est sûr, la page Facebook des Dentus sera ouverte!


6 commentaires:

  1. Tiens, le bureau de Poullex porte le même numéro que la planche, voilà qui est bien pensé ! "Nous voilà arrivés !" m'a bien fait rire, tout comme cet urgentiste qui ne sort les mains de ses poches que pour manipuler son mégot. Le tout conclu par un beau rebondissement !

    On change complètement de style planche 18, sans parole, ça rappelle l'ambiance des premières planches, même si dois dire que je préfère de beaucoup cette planche 18 aux 2-3 premières, car elle se tient déjà parfaitement bien même sans couleur. Raoul a une sorte de sacoche en bandoulière que je ne lui connaissais pas. Mais je trouve le texte de la dernière vignette un peu ambigu : qui est l'homme d'une quarantaine d'années atteint de graves troubles bipolaires ? Le nommé Claude Grisous, dont on voit le portrait, ou bien son fils ? La construction de la phrase suggère que le bipolaire, c'est le fils, mais ce Claude Grisous a l'air un peu jeune pour avoir un fils d'une quarantaine d'années, et la vignette précédente, qui indique que Claude Grisous est "en marge sans l'avoir choisi", suggère que c'est lui qui pourrait être bipolaire, et on imagine que sa "marginalisation" pourrait en être la conséquence. Bref, il y a là une confusion, mais elle est peut-être volontaire. Il est vrai en tout cas que ces informations, nombreuses et précises livrées en peu de temps sur ce nouveau personnage illustrent bien la déformation professionnelle de Raoul, l'effet est très réussi.

    J'ajoute que c'est surprenant, dans le bon sens du terme, de voir Raoul dans un rôle "normal" dans cette planche. Le personnage ne se réduit pas au bizarre, ni au comique du clown rouge, et il gagne en profondeur. Le lecteur peut s'identifier à lui sur ces deux planches (à l'exception du "traînage de gus" sur le sol bien sûr), alors qu'on riait de sa réaction face au malaise de Portal.

    On espère qu'il trouvera le temps de créer une page sur Facebook et de nous y inviter !

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    1. Salut André, merci pour cette analyse!

      Oui, je pense que j'arrive à exactement trouver mon style à partir des pages que je poste depuis la rentrée de septembre, et c'est vrai que ces dernières sont meilleures que les 2 ou 3 premières, voire les 4 ou 5 premières. Un jour viendra je serai sans doute obligé de les refaire, mais rien ne presse, elles sont encore regardables.

      Pour ce qui est du dernier texte de la dernière page, je te confirme que l'homme d'une quarantaine d'années ayant des troubles est le fils de monsieur Grisoux. J'aurais en effet dû mettre deux points (:) après la phrase "il est veuf et a un fils".

      Quand au père il peut très bien avoir été père vers la vingtaine d'année et avoir donc aujourd'hui la soixantaine, ce qui semble être le cas. Et puis à 60 ans on peut paraitre encore assez jeune: ma mère elle-même a un fils de 40 ans, et elle ne fait pas vieille du tout! :-D

      A bientôt!

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  2. Grisoux avec un X ! Autant pour (Yann) moix !

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  3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  4. Petit soucis de compréhension pour ma part cette semaine :
    Le cas Portal est rapidement évacué pour se retrouver chez jeannette, avec l'histoire du type veuf (moi j'ai cru comprendre que c'etait son fils qui était le bi-polaire).
    Le changement d'intrigue ne me dérange pas, mais ça arrive tout de go, on laisse Portal un peu rapidement, sur une révélation stupéfiante et ...
    Chais pas ... quelque chose me gêne un peu; comme si une phrase commencée avec une majuscule ne se terminait pas par un point. Peut-être la dernière vignette planche 17 est-elle trop petite, et qu'un large plan dd'ensemble aurait mieux simplifié la fin temporaire de ce petit épisode à l'hôpital ?
    Bon, je sais pas ... Qu'importe, ça repart planche 18 ou là le découpage est dans faille (j'adore la case ou Raoul tire la chaise pour aller s'asseoir à la table de l'homme solitaire. Super bien senti, le genre de case qui ralentit l'histoire et nous fait nous installer douillettement dans le récit )

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    1. Salut Rice!

      Tu as bien compris, c'est bien le fils de M. Grisoux qui est bipolaire.

      C'est vrai que pour le reste, j'ai un peu emmené le lecteur sur deux pistes différentes au premier abord, mais tes interrogations seront largement dissipées la semaine prochaine, un peu de patiente! :-)

      Encore merci de tes appréciations que lis toujours avec grand plaisir. :-)

      A bientôt

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