Bon, alors où on en est?...
Donc, les Dentus, bien à contre cœur, ont été obligés de prendre le RER pour se rendre à Villepinte où, sur les indications de Mercure, ils ont pu retrouver la maison des Monclar où Pierre se retranche.
Pour pouvoir entrer sans effrayer madame Monclar, Raoul a tenté de se présenter comme monsieur le maire pour qu'on lui ouvre...
Mais jusqu'où s'arrêtera-t-on?...
Pardon pour le style pourri, mais c'est de pire en pire de tous les côtés, c'est le concept! Mais bon, tant qu'on rit toujours, après tout!...
Vous verrez peut-être en fin d'année pour quelle raison les Dentus ont un style plus rapide qu'il y a quelques mois.
A la semaine prochaine!
Voilà une planche vraiment savoureuse ! Le "foutez-moi le camp" de madame Monclar m'a immédiatement fait penser à Louis De Funès ! Quant au lancer de chaussures, c'est George W Bush qui en son temps, avait eu affaire à une telle "attaque". Contrairement à Raoul, George avait eu le réflexe de se baisser afin d'esquiver la godasse volante. Enfin la pompe à vin me rappelle aussi quelque chose, peut-être un gag de la troupe du Splendid. L'usage d'un tel accessoire, quand on se souvient de ce que les Dentus avaient découvert dans l'immeuble de Monclar, n'a finalement rien de plus extravagant que la collection d'ongles, la "poupée", l'arsenal de Fusilli et le "couple" Portal... Et comme à chaque planche, l'histoire est relancée vers un grand point d'interrogation. On se demande ce que les Dentus, imbibés de vin, et coincés à Villepinte en pleine nuit, vont trouver à faire !
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